Hommage à Marie-Anne Boisvert, Infirmière de colonie
et à toutes celles qui ont embrassé ce dur métier
J’ai longtemps rêvé de devenir médecin et d’aller travailler dans les pays sous-développés. Je crois que j’aurais eu la vocation pour devenir Infirmière de colonie si j’étais née à une autre époque. En aurais-je eu le courage? Aurais-je su vaincre mes peurs? Aurais-je su vivre dans l’isolement et la solitude presque continuellement? Peut-être!
J’admire ces femmes, toutes ces femmes qui ont permis la colonisation de notre beau pays! Je leur lève mon chapeau! Je remercie Arlette Couture d’avoir écrit la trilogie Les filles de Caleb, même si cette histoire est romancée, nous pouvons mieux connaitre les défis que ces femmes relevaient dans la froidure abitibienne.
À l’été 2013, avec mon ami, nous avons recherché le dispensaire de Marie-Anne Boisvert, sa mère. Ce fut un voyage rempli de surprises et de découvertes. Ce livre veut lui rendre hommage et à travers elle, remercier toutes les infirmières de colonie de l’Abitibi.
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Voici le dispensaire de St-Roch de Bellecombe au temps de la colonisation.